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L’Eurovision, un enjeu de “soft power”

  • Photo du rédacteur: Youna RIVALLAIN
    Youna RIVALLAIN
  • 23 avr. 2020
  • 1 min de lecture

Longtemps dédaignée par le public français, l'Eurovision, plus grande compétition musicale du monde, dont la finale aura lieu le 18 mai, fait l’objet d’un véritable enjeu de pouvoir entre États.


Près de 200 millions de spectateurs chaque année, répartis dans 43 pays ainsi que sur Internet, une part d’audience avoisinant les 36% dans toute l’Europe, avec des pics à 95% de téléspectateurs pour l’Islande, l’Eurovision est la deuxième plus grosse audience télévisuelle au monde après la Coupe du monde de football. Bien que souvent boudé par la France, le concours Eurovision de la chanson est une institution de la culture populaire européenne et un enjeu de pouvoir pour les pays candidats. Cette année encore, alors que la compétition finale se déroulera à Tel Aviv le 18 mai prochain, l’atmosphère promet d’être électrique. Les appels au boycott se sont multipliés. Cette année, c’est le youtubeur de 19 ans Bilal Hassani qui représentera la France avec sa chanson Roi.Mais d’où vient l’Eurovision et comment la compétition a-t-elle évolué jusqu’à devenir un instrument de soft power à l’échelle continentale ?


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© 2020 par Youna.

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